Nouveau Bateau de croisières en Seine et Oise : Le Signac
Croisières en Seine vient d’acquérir un nouveau bateau à passagers, confortable et spacieux pouvant accueillir jusqu’à 180 personnes.
Le Signac, au charme et à l’élégance des yachts des années 50, possède 2 ponts, 2 salons largement vitrés et 3 terrasses dont une abritée. C’est le seul bateau de ce standing dans ce secteur.
Il vous permet dès à présent d’organiser vos croisières professionnelles (séminaire, soirée d’entreprise, promenade, …) ou réceptions privées (mariage, anniversaire, départ à la retraite, …) dans un cadre calme et dépaysant sur la basse Seine et sur l’Oise.
Mais qui était Signac?
Né en 1863 et mort en 1935 à Paris, Paul Signac décide de devenir peintre à l’âge de 16 ans. Ses premiers tableaux s’inscrivent dans la suite de ceux des Impressionnistes.
Il va participer avec Seurat à l’élaboration de la technique du pointillisme: procédé qui consiste à juxtaposer sur la toile des points ou des touches de tons purs contrastés dont l’effet est visible à une certaine distance du tableau.
Il mis aussi au point la technique du Divisionnisme. Lui même disait « la division est plutôt une philosophie qu’un système ».
L’eau et ses reflets le fascinaient, la voile et la mer le passionnaient. Il possédait près d’une trentaine de bateaux tels que le « Hareng Saur Epileptique », le « Tub » ou encore le « Faux-col », « l’Ubu » ou la « Walkyrie ».
Signac peintre de marine, toujours coiffé de sa casquette de marin, vêtu d’un pull à col roulé, arpentait les quais, observait les bateaux, tartanes morutiers, cargos rouillés, voiliers en carénage.
Travailleur infatigable, Signac chercha toujours par le biais de voyages en bateau (Rotterdam, Constantinople, Londres, Venise) et d’inlassables recherches à préserver l’originalité de son oeuvre.
En effet, Paul Signac fut nommé peintre officiel de la marine en 1815, et vécut plusieurs années prés de la mer, en Bretagne puis à St Tropez, où il peint le plus souvent des paysages marins ou fluviaux.
Et lorsqu’il ne réside pas sur la côte française, le peintre fréquente les Bords de Seine notamment la Frette sur Seine.